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Ceux qui s’attendent à pouvoir reconnaître un style risquent d’être déçus. A chaque sujet, un type d’approche différent. Pour les villes, ce furent longtemps essentiellement les panoramiques, à New York et Rome, mais pour Berlin, je me suis essayé au photomontage. Pour les sujets de nature, c’est au contraire la photo verticale qui est privilégiée, avec une invitation à interpréter l’image dans Des Arbres et des hommes, quand l’oeil n’est pas invité à voyager dans l’image avec Rivages. Pour l’humain, avec Les Visiteurs, le texte d’accompagnement peut être aussi important que l’image, à moins que l’image ne parle d’elle-même pour Les Musiciens ou Courants d’air.

Mais c’est toujours un travail de chasseur d’images. S’il y a ici la poursuite d’un idéal, c’est d’abord celui de capturer des espaces, de les interpréter et de les réorganiser dans un autre espace, celui de l’exposition. Saisir le « génie du lieu », mais aussi le dialogue entre des personnes et leur environnement. Ce travail s’organise autour de deux projets d’exposition majeurs qui disent la tension entre l’espace et l’individu : « Mes cités-phare » et « Les Visiteurs », où se rencontrent photographie et peinture.

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